J'explique à Catherine comment relancer l'indépendance du Québec

Catherine, belle Catherine, laisse-moi te parler comme un grand frère... ou comme un "mononcle". Avec le temps, on devient tous un peu mononcle. Je vais essayer de ne pas être paternaliste ou condescendant, je sais qu'au Féministan québécois, les hommes qui la ramènent sont vite mis à leur place.

Qui suis-je pour donner des conseils? Eh bien, je suis un souverainiste pur et dur ! La souveraineté, c'est moi. J'ai même voté pour le PQ aux dernières élections même si je savais qu'il allait dans le mur, surtout avec super Catherine Dorion dans ma circonscription qui avait pratiquement placardé mur à mur sa bouille baveuse de fille branchée.

Mais j'en viens au point, comment relancer l'idée de l'indépendance. C'est assez simple en fait, il faut dire pourquoi on veut la faire cette indépendance et ne pas s'écarter de ce chemin.

Oublie ces conneries de rassemblement, d'inclusion, ou cette niaiserie d'environnement, un sujet secondaire pour flatter les jeunes qui trouvera sa place éventuellement.

Les trois raison pour faire l'indépendance : 1) Maintenir notre identité française ; 2) Devenir riche ; 3) Devenir le propriétaire de notre maison, le boss !

Le premier point signifie qu'il ne faut pas avoir peur d'affirmer notre identité, nos origines françaises, de défendre notre système de valeurs, que cela plaise ou non aux minorités, aux gauchistes, aux médias. Fuck them all ! Le Québec a une belle histoire depuis les tous débuts de la colonie et ce n'est pas à machin du tiers monde qui vient d'arriver ,de descendre de l'avion ( ou qui a passé la frontière illégalement) à nous dire comment nous voulons vivre dans notre pays.

Devenir riche parce que nous sommes pauvres. Nous sommes les esclaves de ce pays. Tout le monde passe avant nous. Il faut se rapporter à l'échelle des revenus moyens des "Canardiens". C'est ridicule, les Québécois arrivent en dernière position. Après avoir défriché cette terre, travailler dans les mines, pêcher en grande mer, travailler en usine, bâti des cathédrales de barrages pour exploiter l'électricité, nous sommes toujours pauvres.



Enfin, être les propriétaires de notre maison, c'est d'avoir les pleins pouvoirs pour diriger notre bateau, ne plus devoir demander à l'autre pays qui nous maintient dans la soumission. Exister vraiment sur la scène internationale.

Alors, Catherine, je compte sur ta jeunesse. Je ne te cache pas que je suis très pessimiste sur l'avenir du Québec. Le peuple québécois existe encore parce qu'il y a encore une majorité de Québécois francophones, mais quand la démographie ne jouera plus en notre faveur, ne t'illusionne pas sur le vote de ces minorités qui n'ont pas progressé depuis 50 ans et qui nous ont fait perdre le référendum de 1995. C'est un poids mort et il s'en rajoute cent mille par année.

Au revoir, ma belle et bonne route !
Vive la Nouvelle-France !




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