Accueillants et inclusifs les Québécois ? Non ! Pas moi ! Ce n'est pas assez payant !
On le constate dans le débat actuel, il n'existe aucune réciprocité de la part de ces minorités qui entrent ici en trop grand nombre. Et, comme si ce n'était pas assez, il y en a maintenant un très grand nombre qui entrent illégalement par le chemin Roxham. N'en doutons pas, ce sont des ingénieurs que la Silicon Valley a refusé et qui viennent enrichir le Québec !
Mais non ! ils viennent plutôt grossir le ghetto ethnique qui leur est attribué, un quartier que les Québécois ont fui depuis longtemps, puisqu'ils ont fui Mountreehall, ne s'y reconnaissant plus dans la ville de la diversité forcée.
Dans le meilleur des cas, il sera encore possible de circuler paisiblement dans leur quartier pittoresque, mais on ne pourra pas garantir votre sécurité. Parlez-en aux policiers dont le poste de police a été assiégé il y a deux ans ! Ne vous habillez pas en bleu ou en rouge. (Je serais curieux de connaître le vrai taux de criminalité de Mountreehall. Il ne peut que croître, les grandes villes européennes en font le constat.)
Ces merveilleuse personnes issues de la diversité toucheront l'aide sociale et l'aide aux réfugiés pendant une année, et ensuite fourniront une main-d'oeuvre à bon marché, pour que les salaires n'augmentent jamais. C'est de cette façon que le Québec reste la province où les salaires sont parmi les plus bas en Amérique du Nord et les taxes les plus élevées.
Quand ils auront enfin la nationalité du Canada, en parlant le français ou n'en sachant pas un traître mot, et en gardant leurs accoutrements qui appartient à une autre civilisation, ils pourront aussi garder leur nationalité et avoir deux passeports. Éventuellement, ils feront venir leurs parents, les feront soigner dans nos hôpitaux, ou leur enverront par Western Union des montants d'argent qui échappent à l'économie québécoise.
C'est payant l'immigration !
Tout reconnaissant envers le Canada, ils voteront libéral et, dans l'éventualité d'un référendum, ils empêcheront les Québécois d'obtenir une nationalité qu'eux ont en double.
L'immigration avait du sens quand elle ne dépassait pas la capacité à vraiment intégrer les nouveaux citoyens, quand ceux-ci désiraient vraiment devenir des citoyens à part entière et à embrasser la culture de leurs hôtes. Nous avons depuis longtemps dépassé ce stade. L'immigration est devenue un instrument politique entre les mains d'Ottawa qui veut nous submerger démographiquement, comme le disait déjà en 1976 feu René Lévesque.
Mais non ! ils viennent plutôt grossir le ghetto ethnique qui leur est attribué, un quartier que les Québécois ont fui depuis longtemps, puisqu'ils ont fui Mountreehall, ne s'y reconnaissant plus dans la ville de la diversité forcée.
Dans le meilleur des cas, il sera encore possible de circuler paisiblement dans leur quartier pittoresque, mais on ne pourra pas garantir votre sécurité. Parlez-en aux policiers dont le poste de police a été assiégé il y a deux ans ! Ne vous habillez pas en bleu ou en rouge. (Je serais curieux de connaître le vrai taux de criminalité de Mountreehall. Il ne peut que croître, les grandes villes européennes en font le constat.)
Ces merveilleuse personnes issues de la diversité toucheront l'aide sociale et l'aide aux réfugiés pendant une année, et ensuite fourniront une main-d'oeuvre à bon marché, pour que les salaires n'augmentent jamais. C'est de cette façon que le Québec reste la province où les salaires sont parmi les plus bas en Amérique du Nord et les taxes les plus élevées.
Quand ils auront enfin la nationalité du Canada, en parlant le français ou n'en sachant pas un traître mot, et en gardant leurs accoutrements qui appartient à une autre civilisation, ils pourront aussi garder leur nationalité et avoir deux passeports. Éventuellement, ils feront venir leurs parents, les feront soigner dans nos hôpitaux, ou leur enverront par Western Union des montants d'argent qui échappent à l'économie québécoise.
C'est payant l'immigration !
Tout reconnaissant envers le Canada, ils voteront libéral et, dans l'éventualité d'un référendum, ils empêcheront les Québécois d'obtenir une nationalité qu'eux ont en double.
L'immigration avait du sens quand elle ne dépassait pas la capacité à vraiment intégrer les nouveaux citoyens, quand ceux-ci désiraient vraiment devenir des citoyens à part entière et à embrasser la culture de leurs hôtes. Nous avons depuis longtemps dépassé ce stade. L'immigration est devenue un instrument politique entre les mains d'Ottawa qui veut nous submerger démographiquement, comme le disait déjà en 1976 feu René Lévesque.
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