Les femmes en politique ? C'est pas fameux !
Je sais qu'on va me dire les hommes non plus.
Et, en général, c'est vrai.
Cependant, je ne peux pas nommer une femme qui ne serait pas dans la gestion terre-à-terre, qui aurait une vision plus générale, un point de vue de chef d'État.
Une femme qui est directrice d'école, par exemple, c'est parfait. Elle n'oublie aucun détail, tout comme lorsqu'elle fait le ménage.
D'ailleurs, on engage volontiers dans les hôtels des femmes pour faire le ménage parce qu'on sait qu'elles ont l’œil pour la précision, contrairement aux hommes souvent plus "généralistes".
Les femmes n'ont pas de vision globale de la société, mais elles deviennent souvent dogmatiques.
On le voit avec QS, parti typiquement féminin, ou avec la French Pea Soup de service qui tient le rôle de mairesse dans l'ancienne ville québécoise, Mountreehall, dont le rôle est de nous faire croire que cette ville est encore québécoise. Elle na pas hésité une seconde à trahir les siens en cédant (virtuellement) le territoire aux Mohawks, en parlant anglais et en n'affichant pas le drapeau québécois.
Elles sont toutes comme ça. Ingrid Bettancourt, quand elle a été prise en otage en Colombie par les Farcs, était gardée par des femmes aussi zélées que le Che qui n'auraient pas hésiter à lui tirer dans le dos (lire son récit absolument fascinant: "Même le silence a une fin").
Il y a eu quelques femmes d'État comme Margareth Thatcher, Golda Meir, Indira Ghandi... C'est ce que je disais, des dogmatiques, implacables, impitoyables!
En Suède, le féminisme socialo-hystérique a presque détruit le pays en acceptant une immigration massive. (Voir le vidéo de Black Pigeons Speaks sur YouTube.)
On pourrait nommer Lise Payette comme politicienne qui est sortie du lot, toutefois son féminisme a pris le dessus à la fin de sa vie sur sa volonté politique souverainiste.
Les autres femmes connues du Québec ne se sont pas engagées pour le Québec, même si elles étaient probablement souverainistes : Janette Bertrand, Monique Simard, Denise Bombardier, et j'en oublie !
Bref, cela ne va pas changer. Cela ne veut pas dire qu'elles ne peuvent pas servir l'État à leur façon. Elles sont excellentes pour chercher des poux. Ouais, qu'on les mette à l'ouvrage, ces fainéantes !
(Photo : la jovialiste Valérie Plante, contente d'elle-même.)
Et, en général, c'est vrai.
Cependant, je ne peux pas nommer une femme qui ne serait pas dans la gestion terre-à-terre, qui aurait une vision plus générale, un point de vue de chef d'État.
Une femme qui est directrice d'école, par exemple, c'est parfait. Elle n'oublie aucun détail, tout comme lorsqu'elle fait le ménage.
D'ailleurs, on engage volontiers dans les hôtels des femmes pour faire le ménage parce qu'on sait qu'elles ont l’œil pour la précision, contrairement aux hommes souvent plus "généralistes".
Les femmes n'ont pas de vision globale de la société, mais elles deviennent souvent dogmatiques.
On le voit avec QS, parti typiquement féminin, ou avec la French Pea Soup de service qui tient le rôle de mairesse dans l'ancienne ville québécoise, Mountreehall, dont le rôle est de nous faire croire que cette ville est encore québécoise. Elle na pas hésité une seconde à trahir les siens en cédant (virtuellement) le territoire aux Mohawks, en parlant anglais et en n'affichant pas le drapeau québécois.
Elles sont toutes comme ça. Ingrid Bettancourt, quand elle a été prise en otage en Colombie par les Farcs, était gardée par des femmes aussi zélées que le Che qui n'auraient pas hésiter à lui tirer dans le dos (lire son récit absolument fascinant: "Même le silence a une fin").
Il y a eu quelques femmes d'État comme Margareth Thatcher, Golda Meir, Indira Ghandi... C'est ce que je disais, des dogmatiques, implacables, impitoyables!
En Suède, le féminisme socialo-hystérique a presque détruit le pays en acceptant une immigration massive. (Voir le vidéo de Black Pigeons Speaks sur YouTube.)
On pourrait nommer Lise Payette comme politicienne qui est sortie du lot, toutefois son féminisme a pris le dessus à la fin de sa vie sur sa volonté politique souverainiste.
Les autres femmes connues du Québec ne se sont pas engagées pour le Québec, même si elles étaient probablement souverainistes : Janette Bertrand, Monique Simard, Denise Bombardier, et j'en oublie !
Bref, cela ne va pas changer. Cela ne veut pas dire qu'elles ne peuvent pas servir l'État à leur façon. Elles sont excellentes pour chercher des poux. Ouais, qu'on les mette à l'ouvrage, ces fainéantes !
(Photo : la jovialiste Valérie Plante, contente d'elle-même.)
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