Fier d'être catholique !
Même si je ne suis pas croyant, je suis de tradition catholique et fier de l'être !
J'emmerde les autres religions dites du livre qui n'ont pas dépassé le concept du "oeil pour oeil, dent pour dent".
Et on voit ce que ça donne !
Tant que les adeptes de ces religions restaient dans leur monde médiéval, cela allait. Ils vivaient comme ils le désiraient avec leurs incessants conflits et nos sociétés n'étaient pas trop affectées.
Mais ils ont commencé à se répandre comme les métastases d'un cancer... Bon, peu importe, c'est un autre sujet !
Que penser des autres religions ? Le bouddhisme, ça va. Le bouddhisme prend plusieurs formes, soit populaire (le Petit Véhicule avec des rituels, des offrandes), soit plus cérébral (le Grand Véhicule où les moines cherchent l'illumination). Il s'exprime aussi dans le zen et est essentiellement une pratique.
L'hindouisme a ses grandeurs (tradition de la transmission des maîtres) et ses petitesses (les castes, les vaches sacrées, l'absence de papier cul en Inde). On peut dire qu'il crée une société traditionaliste où le rôle de l'homme et la femme est codifié, comme il l'était autrefois dans les sociétés catholiques.
Les jeunes hommes deviennent frustrés sexuellement dans ce type d'approche puritaine des moeurs. C'est leur problème...
De ce point de vue, de l'attitude envers le sexe, les sociétés catholiques ont beaucoup évolué. Les plus à cheval sur l'orthodoxie catho affirmeraient sans doute que nous sommes devenus décadents.
C'est sans doute vrai, mais je ne crois pas que nous allons revenir en arrière. Le pape, trop moderne au goût de certains, s'ajuste. À mon avis, il devrait permettre le mariage des prêtes et ouvrir la prêtrise aux femmes.
On ramène toujours le catholicisme à ces problèmes de pédophilie, déplorables évidemment, mais qui appartiennent à une époque où on n'avait pas toujours le choix de choisir la profession de son choix (au Québec particulièrement avec un clergé trop prégnant).
Michel Onfray (dont je ne suis pas un spécialiste) a beaucoup tiré sur l'ambulance du catholicisme. Comme philosophe, il ne voit pas, à mon humble avis, l'aspect sociologique constructif du catholicisme.
En fait, l'apport du catholicisme a été de contenir l'humain, de lui donner une morale populaire.
Il y a de belles valeurs dans le catholicisme : le pardon ("que celui qui n'a jamais péché (...)", l'amour du prochain, la bonté.
Jésus était probablement un maître illuminé. Il n'a pas égorgé une tribu entière et n'a pas préconisé le mariage avec des petites filles de six ans !
Onfray lui reproche l'épisode des marchands du temple qu'il a chassé à coup de fouets... Et dans le même souffle, il prétend que le personnage historique, Jésus, n'a pas existé... Il reste qu'aucun catholique n'a la morale de donner des coups de fouet à gauche et à droite !
Et l'Inquisition, et les Croisades, et blablabla... Rome ne s'est pas bâtie en un seul jour. L'être humain apprend par ces expériences et que celui qui n'a jamais péché... visite le cimetière de Longueuil (photos).
J'emmerde les autres religions dites du livre qui n'ont pas dépassé le concept du "oeil pour oeil, dent pour dent".
Et on voit ce que ça donne !
Tant que les adeptes de ces religions restaient dans leur monde médiéval, cela allait. Ils vivaient comme ils le désiraient avec leurs incessants conflits et nos sociétés n'étaient pas trop affectées.
Mais ils ont commencé à se répandre comme les métastases d'un cancer... Bon, peu importe, c'est un autre sujet !
Que penser des autres religions ? Le bouddhisme, ça va. Le bouddhisme prend plusieurs formes, soit populaire (le Petit Véhicule avec des rituels, des offrandes), soit plus cérébral (le Grand Véhicule où les moines cherchent l'illumination). Il s'exprime aussi dans le zen et est essentiellement une pratique.
L'hindouisme a ses grandeurs (tradition de la transmission des maîtres) et ses petitesses (les castes, les vaches sacrées, l'absence de papier cul en Inde). On peut dire qu'il crée une société traditionaliste où le rôle de l'homme et la femme est codifié, comme il l'était autrefois dans les sociétés catholiques.
Les jeunes hommes deviennent frustrés sexuellement dans ce type d'approche puritaine des moeurs. C'est leur problème...
De ce point de vue, de l'attitude envers le sexe, les sociétés catholiques ont beaucoup évolué. Les plus à cheval sur l'orthodoxie catho affirmeraient sans doute que nous sommes devenus décadents.
C'est sans doute vrai, mais je ne crois pas que nous allons revenir en arrière. Le pape, trop moderne au goût de certains, s'ajuste. À mon avis, il devrait permettre le mariage des prêtes et ouvrir la prêtrise aux femmes.
On ramène toujours le catholicisme à ces problèmes de pédophilie, déplorables évidemment, mais qui appartiennent à une époque où on n'avait pas toujours le choix de choisir la profession de son choix (au Québec particulièrement avec un clergé trop prégnant).
Michel Onfray (dont je ne suis pas un spécialiste) a beaucoup tiré sur l'ambulance du catholicisme. Comme philosophe, il ne voit pas, à mon humble avis, l'aspect sociologique constructif du catholicisme.
En fait, l'apport du catholicisme a été de contenir l'humain, de lui donner une morale populaire.
Il y a de belles valeurs dans le catholicisme : le pardon ("que celui qui n'a jamais péché (...)", l'amour du prochain, la bonté.
Jésus était probablement un maître illuminé. Il n'a pas égorgé une tribu entière et n'a pas préconisé le mariage avec des petites filles de six ans !
Onfray lui reproche l'épisode des marchands du temple qu'il a chassé à coup de fouets... Et dans le même souffle, il prétend que le personnage historique, Jésus, n'a pas existé... Il reste qu'aucun catholique n'a la morale de donner des coups de fouet à gauche et à droite !
Et l'Inquisition, et les Croisades, et blablabla... Rome ne s'est pas bâtie en un seul jour. L'être humain apprend par ces expériences et que celui qui n'a jamais péché... visite le cimetière de Longueuil (photos).
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