Politique fiction : la CAQ révolutionne le Québec !

Le lendemain de l'élection d'un gouvernement caquiste, lundi, le premier octobre 2018, une escouade de la SQ a investi la municipalité de Roxham.

Les policiers font face à la police fédérale de la GRC, dans une lutte pour la légitimé de la loi, et bloquent en même temps l'accès au territoire québécois.

Le premier ministre élu, François Legault a décidé de refuser tous les migrants illégaux qui ont franchi la frontière et ceux qui étaient sur le territoire ont été expulsés. Ils ont reçu mille dollars pour se refaire une vie dans leur pays merdique.

"Qu'ils aillent construire ou reconstruire leur pays, a déclaré le premier ministre, nous ne sommes pas la poubelle des États-Unis, ou d'Haïti ou d'ailleurs." 

Certains ont critiqué le mille dollars qu'on leur a donné, mais Legault a souligné que c'était moins cher que de leur donner l'aide sociale pendant des années et tous les services sociaux de l'État québécois.

Le gouvernement caquiste a aussi décrété un moratoire sur l'immigration et a commandé un rapport sur les coûts et l'apport réel de cette mythique apport de la diversité.

Autre surprise de taille, la mairesse jovialiste de l'ancienne ville québécoise, Mountreehall, la French Pea Soup de service, est maintenant derrière les barreaux. Elle contrevenait à la loi en refusant d'arborer le drapeau québécois et en déclarant qu'un territoire du Québec appartenait à une nation étrangère et hostile. La CAQ songe à modifier la loi pour ajouter le crime de trahison.

La ville est maintenant sous la tutelle du gouvernement. Plusieurs circonscriptions seront fusionnées et la taille de l'administration réduite. On prévoit un nouvel exode des quartiers de l'Ouest vers Toronto et le Maghreb.

Justement, plusieurs groupes religieux sont à couteaux tirés avec la nouvelle Charte de la laïcité qui interdit toutes formes de prosélytisme dans les institutions publiques, l'interdit des voiles, des cagoules, dans l'espace public, les écoles, les universités, les CPE, les hôpitaux, etc.

De nombreuses manifestation d'anarchistes ont ponctué la vie montréalaise pour protester contre la Charte de Legault et de multiples arrestations ont suivi après des confrontations avec les policiers de l'escouade antiémeute.

Un tristement célèbre manifestant professionnel subventionné par l'université Concordia a été projeté au sol par les policiers qui lui ont cassé un bras (accidentellement). Son visage est tuméfié.

On a aussi arrêté un islamiste bien connu qui a été expulsé du territoire québécois.

Le gouvernement Legault en a profité pour revoir le financement des universités et des cégeps et pour changer les programmes qui sont souvent des voies vers le chômage et le parasitisme social.

En parallèle à cette agitation urbaine, l'UPAC a fait plusieurs descentes dans les locaux du PLQ. Elle a arrêté plusieurs anciens députés et ministres pour corruption présumée. On parle même de l'arrestation de deux anciens premiers ministres dont un qui utilisait son titre tout en travaillant comme espion pour le SCRS.

Legault entend, au plan économique, garder au Québec tous les sièges sociaux, et faire en sorte que les ressources ne soient pas brader et qu'elles enrichissent tous les Québécois, l'eau, en particulier, l'or bleu de l'avenir, devra être vendue au double du prix actuel.

Bref, le Québec bouge et l'opinion publique semble enthousiasmée par les derniers bouleversements de la province du Québec, le trublion de la fédération canardienne. 

En revanche, le gouvernement Trudeau ne sait plus comment contrer l'action du nouveau gouvernement québécois. Il a même envisagé d'adopter la Loi des Mesures de guerre. Mais étant au plus bas dans les sondages, Justin Trudeau doit se contenter de regarder son homologue provincial.

Il a particulièrement déploré le retrait du Québec de la taxe carbone, Legault ayant qualifié cette théorie écologique de légende urbaine. 

Pour ce qui est de l'opinion publique canadienne, elle est fascinée par l'audace des dirigeants québécois, en particulier le premier ministre de l'Ontario, Doug Ford. "Legault is a hell of a guy", a-t-il déclaré dans le charabia chuintant et cacophonique de la langue de la famille germanique.




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