Le Québec : le non-pays qui radote

Nous étions connus comme un peuple de "patenteux", d'ingénieux ingénieurs amateurs, nous voici devenus un peuple de radoteux !

Nous revoilà tous repartis pour une ronde de débats sur la laïcité. Embarquons tous dans un manège de la Ronde et tournons et retournons la question dans tous les sens. 

Si cette question avait été réglée à l'époque de Bouychard-Taylor, nous ne serions pas encore à ressasser ce sujet.

J'ai une solution. Il faut séparer Montréal du Québec puisque la plus grande opposition va certainement venir de cette ancienne ville du Québec que les immigrants nous ont volée avec la complicité des fédérastes.

Oui, Mountreehall, vous gardez vos mosselimes, vos enturbanés et vos gourous, vos antifas, vos libérastes, vos multiculturalistes, sur votre territoire mohawk non-cédé, et votre French Pea Soup de mairesse qui veut faire croire au RdQ (le Reste du Québec) que la ville est encore francophone ;  le reste du Québec, les colons comme les appelle la sorcière du dimanche, Guy A., vivra tranquille tout en gardant sa tradition catholique parce qu'après tout nous sommes encore chez nous.

Il faudra rapatrier dans l'ancienne métropole volée par l'immigration les obsédés de l'égorgeur pédophile parce que ceux-ci commencent aussi à se répandre dans la circonscription de la branchée Dorion. C'est à se demander si elle n'a pas été élue à cause (grâce à, si vous êtes un partisan) de ce vote.

On a dit à Labeaume que sa ville était trop blanche et le gros benêt y a cru. Depuis, il veut transformer Québec en petit Montréal-Nord. Les gangs et les ghettos vont suivre, j'imagine. Les mêmes causes produisant les mêmes effets.

Moi, je n'ai pas envie de suivre l'actualité. J'imagine mal Legault résistant à la pression. Je peux me tromper.

Quand on fait entrer depuis deux décennies des hordes d'étrangers, il ne faut pas se surprendre de ne plus être chez soi dans sa maison.

Mais les Québécois ont choisi de ne pas être le propriétaire de leur cabane et ils en payent le prix. Ils aiment être pauvres et être d'éternels locataires. 

Ce soubresaut électoral sera-t-il assez puissant pour changer la donne? 

Nous le serons dans dix ans. Au Québec, les choses évoluent si lentement que cela ressemble à du piétinement.

C'est typique des gens qui n'osent pas vivre. Ils radotent sur les erreurs du passé.

Québec, un gros hôpital psychiatrique, les patients sont en excursion de groupe à la Ronde et ils vont reprendre un tour de manège et retournez en rond les questions des signes religieux, de l'immigration. Oui, non, non, oui...

Ce sera sans moi cette fois-ci. Je regarderai de loin ce fascinant débat.