Mountreehall, ancienne ville québécoise connue sous le nom de Montréal
Montréal était une ville fondée et colonisée par les Français en 1642 par Paul de Chomedey, sieur de
Maisonneuve.
Elle a été purement francophone jusqu'à la conquête anglaise. Elle a même été la capitale du Canada.
C'était avant que les Anglais brûlent le Parlement parce qu'on voulait "indemniser les habitants du
Bas-Canada dont les propriétés avaient été endommagées ou détruites en 1837-1838.
Les anglophones de Montréal n'ont-ils jamais travaillé que pour leurs intérêts?
Sans doute sont-ils pour quelque chose dans le dynamisme économique de la ville, mais qui
fournissait la main-d'oeuvre si ce n'était les "nègres blancs d'Amérique"? ; et quand une partie d'entre
eux se sont exilés aux États-Unis, ce sont les immigrants qui sont venus pour fournir le "cheap labor"
et contribuer à l'ethnocide de l'ethnie québécoise qui continue aujourd'hui.
L'émeute du Forum en 1955, à la suite de la suspension du patriote Maurice Richard, a été le premier
signe du réveil québécois qui allait s'amplifier jusqu`à devenir révolution, une Révolution tranquille.
Le Montréal des années soixante, on ne peut que l'imaginer si on ne l'a pas vécu, devait être une
ville fantastique qui vibrait du dynamisme culturel et politique que les Québécois incarnaient et ont
presque toujours incarné dans le Canada Wasp endormi.
L'Expo Universel de 1967, les Jeux Olympiques, le métro, le Stade Olympique, le maire Drapeau.
Montréal c'était La petite Patrie de Claude Jasmin, les Belles-Soeurs de Michel Tremblay, Quelle belle
Famille de Janette Bertrand, Gilles Carle et la troublante Carole Laure, le cinéma québécois, Charlebois
et son rock métissé par la chanson française, puis Beau Dommage, Harmonium et Offenbach, les fêtes
de la Saint-Jean, la victoire du PQ ; les défaites référendaires de 1980 et de 1995 suivies du déclin qui
se poursuit jusqu'ici.
Un déclin démographique accéléré par l'immigration de remplacement dont le but est de minorer la
présence de l'ethnie québécoise et de lui faire perdre toute influence sur la vie politique de l'ancienne
métropole du Canada.
Les francophones sont maintenant minoritaires et les quartiers s'ethnicisent.
Montréal devenue Mountreehall va devenir une ville de ghettos communautaires. Certains sont déjà
connus pour leurs gangs de toutes origines et sont devenus infréquentables.
Mountreehall va devenir un nouveau Détroit : une ville d'assistés, de sans-abris et de quêteurs.
Catherine Pogonat aura beau agiter ses gambettes maigrichonnes dans sa ville fantasmée, elle ne
pourra plus aller se promener dans certains quartiers à partir d'une certaine heure.
Mais qu'importe, les bobos de la minorité francophone qui vivent dans leur enclave folklorique vont
continuer pendant un temps à donner l'illusion que la ville est dynamique et qu'il fait bon vivre dans
le multiculturalisme, entre deux restaurants exotiques de pacotille conseillés par Anne-Marie Wittenshaw.
Quand les émeutes de quartiers commenceront, quand les autos seront brûlées le jour de la Saint-
Sylvestre, ils continueront de célébrer leur ville-monde, leur État dans l'État, leur faux paradis
multiculturaliste "racisé" et "genré".
Quand Mountreehall sera devenu la ville des minorités qui contrôlent le Québec avec leur parti de
mafieux (tel Saddam Hussein en Irak), ils s'agiteront encore pendant un temps comme des vers sur le
cadavre de Maisonneuve, puis ils disparaîtront pour devenir une note en bas de page d'un livre
d'Histoire que nos descendants n'écriront pas et ne liront qu'en anglais (ou en arabe?).
Maisonneuve.
Elle a été purement francophone jusqu'à la conquête anglaise. Elle a même été la capitale du Canada.
C'était avant que les Anglais brûlent le Parlement parce qu'on voulait "indemniser les habitants du
Bas-Canada dont les propriétés avaient été endommagées ou détruites en 1837-1838.
Les anglophones de Montréal n'ont-ils jamais travaillé que pour leurs intérêts?
Sans doute sont-ils pour quelque chose dans le dynamisme économique de la ville, mais qui
fournissait la main-d'oeuvre si ce n'était les "nègres blancs d'Amérique"? ; et quand une partie d'entre
eux se sont exilés aux États-Unis, ce sont les immigrants qui sont venus pour fournir le "cheap labor"
et contribuer à l'ethnocide de l'ethnie québécoise qui continue aujourd'hui.
L'émeute du Forum en 1955, à la suite de la suspension du patriote Maurice Richard, a été le premier
signe du réveil québécois qui allait s'amplifier jusqu`à devenir révolution, une Révolution tranquille.
Le Montréal des années soixante, on ne peut que l'imaginer si on ne l'a pas vécu, devait être une
ville fantastique qui vibrait du dynamisme culturel et politique que les Québécois incarnaient et ont
presque toujours incarné dans le Canada Wasp endormi.
L'Expo Universel de 1967, les Jeux Olympiques, le métro, le Stade Olympique, le maire Drapeau.
Montréal c'était La petite Patrie de Claude Jasmin, les Belles-Soeurs de Michel Tremblay, Quelle belle
Famille de Janette Bertrand, Gilles Carle et la troublante Carole Laure, le cinéma québécois, Charlebois
et son rock métissé par la chanson française, puis Beau Dommage, Harmonium et Offenbach, les fêtes
de la Saint-Jean, la victoire du PQ ; les défaites référendaires de 1980 et de 1995 suivies du déclin qui
se poursuit jusqu'ici.
Un déclin démographique accéléré par l'immigration de remplacement dont le but est de minorer la
présence de l'ethnie québécoise et de lui faire perdre toute influence sur la vie politique de l'ancienne
métropole du Canada.
Les francophones sont maintenant minoritaires et les quartiers s'ethnicisent.
Montréal devenue Mountreehall va devenir une ville de ghettos communautaires. Certains sont déjà
connus pour leurs gangs de toutes origines et sont devenus infréquentables.
Mountreehall va devenir un nouveau Détroit : une ville d'assistés, de sans-abris et de quêteurs.
Catherine Pogonat aura beau agiter ses gambettes maigrichonnes dans sa ville fantasmée, elle ne
pourra plus aller se promener dans certains quartiers à partir d'une certaine heure.
Mais qu'importe, les bobos de la minorité francophone qui vivent dans leur enclave folklorique vont
continuer pendant un temps à donner l'illusion que la ville est dynamique et qu'il fait bon vivre dans
le multiculturalisme, entre deux restaurants exotiques de pacotille conseillés par Anne-Marie Wittenshaw.
Quand les émeutes de quartiers commenceront, quand les autos seront brûlées le jour de la Saint-
Sylvestre, ils continueront de célébrer leur ville-monde, leur État dans l'État, leur faux paradis
multiculturaliste "racisé" et "genré".
Quand Mountreehall sera devenu la ville des minorités qui contrôlent le Québec avec leur parti de
mafieux (tel Saddam Hussein en Irak), ils s'agiteront encore pendant un temps comme des vers sur le
cadavre de Maisonneuve, puis ils disparaîtront pour devenir une note en bas de page d'un livre
d'Histoire que nos descendants n'écriront pas et ne liront qu'en anglais (ou en arabe?).
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