Le Québec est une Yvette
Image de l'Histoire du Québec.
René Lévesque au centre Paul-Sauvé, devant lui, quelques micros. Derrière lui, sa femme et Lise
Payette, la gaffeuse historique.
Voici qui représentera le paradigme nouveau pour le Québec qui suivra l'après échec référendaire :
deux femmes pour un homme !
L'échec du référendum était en vérité la victoire du féminisme : le féminisme de droite des Yvettes,
une alliance circonstancielle de bourgeoises qui ont représenté le Québec des femmes traditionnelles;
celui de gauche, plus progressiste en apparence, mais sexo-centrée avant tout.
Les femmes qui ont porté le mouvement des Yvettes étaient des femmes de carrière.
De la même façon, les grandes figures du féminisme québécois comme Janette Bertrand et Lise
Payette, sont des femmes dont la carrière a été brillante.
Les féministes qui s'agitent encore aujourd'hui sont des petites bourgeoises subventionnées ou
enseignant les sciences subjectives à l'université.
Qui dit féminisme, dit subventions à portée de main, ou salaires conséquents (ceux du CSF par
exemple) !
La question qui vient à l'esprit est pourquoi le militantisme féministe de droite et de gauche qui s'est
incarné de multiples façons avant, depuis 1980, et après, a-t-il cette virulence?
Ces féministes, qui venaient souvent de la bourgeoisie, qui ont connu une vie relativement facile, qui
n'ont pas eu dix enfants comme dans les vieilles familles québécoises, pourquoi ont-elle été si
militantes, parfois revanchardes, trouvant tous les défauts à leurs hommes, leur faisant porter le poids
de l'aliénation soi-disant patriarcale?
Et surtout, dans le cas particulier du Québec, pourquoi ont-elles fermer la voie à la libération de la
société québécoise, en votant Non au référendum de 1980, si longtemps maintenue dans l'infériorité
à cause de la défaite face aux Anglais?
Les hommes Québécois étaient-ils si privilégiés autrefois, pris eux aussi dans l'aliénation religieuse,
humiliés par la défaite politique de 1837, s’exilant aux États-Unis pour survivre?
La société a toujours été une oligarchie et cela n'a pas vraiment changé.
Je fais l'hypothèse que la rancœur féministe et féminine au Québec vient de la frustration
rétrospective d'avoir vu leurs aïeules accoucher à tire-larigot, à tire-forceps? durant la période dite de
la revanche des berceaux.
À l'heure d'aujourd'hui, 2018, les femmes votent encore pour le PLQ, le parti du statu quo
constitutionnel.
( http://blog.qc125.com/2017/09/le-vote-des-femmes-le-vote-des-hommes.html )
Les Québécoises suivent toujours l'exemple des Yvettes puisqu'elles votent toujours pour le PLQ.
Aujourd'hui, le PLQ et le PLC sont les parfaits partenaires de la gauche multiculturelle, le couple
libéral, libertaire.
Par conséquent, le lobby sexiste y trouve son compte.
Oubliez les féministes progressistes, solidaires des hommes (chose rare) : elles sont une minorité.
Entre le bien commun et les femmes, les femmes vont presque toujours choisir le parti des femmes.
Les exceptions sont rares.
La féminisation des sociétés occidentales est dans l'air du temps et à moins d'un changement majeur,
la confrontation sourde entre les sexes qui sous-tend la vie sociale va continuer et s'accentuer, créant
un climat larvée de petites guerres idéologiques et contre-idéologiques.
Il y a maintenant un MGTOW québécois (Men Going Their Own Way - Hommes poursuivant leur
chemin solitaire - traduction libre) sur YouTube.
La résistance (ou la rancune?) s'organise !
( D'autres graphiques comparatifs sont disponibles : http://blog.qc125.com/2017/09/le-vote-des-femmes-le-vote-des-hommes.html )
René Lévesque au centre Paul-Sauvé, devant lui, quelques micros. Derrière lui, sa femme et Lise
Payette, la gaffeuse historique.
Voici qui représentera le paradigme nouveau pour le Québec qui suivra l'après échec référendaire :
deux femmes pour un homme !
L'échec du référendum était en vérité la victoire du féminisme : le féminisme de droite des Yvettes,
une alliance circonstancielle de bourgeoises qui ont représenté le Québec des femmes traditionnelles;
celui de gauche, plus progressiste en apparence, mais sexo-centrée avant tout.
Les femmes qui ont porté le mouvement des Yvettes étaient des femmes de carrière.
De la même façon, les grandes figures du féminisme québécois comme Janette Bertrand et Lise
Payette, sont des femmes dont la carrière a été brillante.
Les féministes qui s'agitent encore aujourd'hui sont des petites bourgeoises subventionnées ou
enseignant les sciences subjectives à l'université.
Qui dit féminisme, dit subventions à portée de main, ou salaires conséquents (ceux du CSF par
exemple) !
La question qui vient à l'esprit est pourquoi le militantisme féministe de droite et de gauche qui s'est
incarné de multiples façons avant, depuis 1980, et après, a-t-il cette virulence?
Ces féministes, qui venaient souvent de la bourgeoisie, qui ont connu une vie relativement facile, qui
n'ont pas eu dix enfants comme dans les vieilles familles québécoises, pourquoi ont-elle été si
militantes, parfois revanchardes, trouvant tous les défauts à leurs hommes, leur faisant porter le poids
de l'aliénation soi-disant patriarcale?
Et surtout, dans le cas particulier du Québec, pourquoi ont-elles fermer la voie à la libération de la
société québécoise, en votant Non au référendum de 1980, si longtemps maintenue dans l'infériorité
à cause de la défaite face aux Anglais?
Les hommes Québécois étaient-ils si privilégiés autrefois, pris eux aussi dans l'aliénation religieuse,
humiliés par la défaite politique de 1837, s’exilant aux États-Unis pour survivre?
La société a toujours été une oligarchie et cela n'a pas vraiment changé.
Je fais l'hypothèse que la rancœur féministe et féminine au Québec vient de la frustration
rétrospective d'avoir vu leurs aïeules accoucher à tire-larigot, à tire-forceps? durant la période dite de
la revanche des berceaux.
À l'heure d'aujourd'hui, 2018, les femmes votent encore pour le PLQ, le parti du statu quo
constitutionnel.
( http://blog.qc125.com/2017/09/le-vote-des-femmes-le-vote-des-hommes.html )
Les Québécoises suivent toujours l'exemple des Yvettes puisqu'elles votent toujours pour le PLQ.
Aujourd'hui, le PLQ et le PLC sont les parfaits partenaires de la gauche multiculturelle, le couple
libéral, libertaire.
Par conséquent, le lobby sexiste y trouve son compte.
Oubliez les féministes progressistes, solidaires des hommes (chose rare) : elles sont une minorité.
Entre le bien commun et les femmes, les femmes vont presque toujours choisir le parti des femmes.
Les exceptions sont rares.
La féminisation des sociétés occidentales est dans l'air du temps et à moins d'un changement majeur,
la confrontation sourde entre les sexes qui sous-tend la vie sociale va continuer et s'accentuer, créant
un climat larvée de petites guerres idéologiques et contre-idéologiques.
Il y a maintenant un MGTOW québécois (Men Going Their Own Way - Hommes poursuivant leur
chemin solitaire - traduction libre) sur YouTube.
La résistance (ou la rancune?) s'organise !
( D'autres graphiques comparatifs sont disponibles : http://blog.qc125.com/2017/09/le-vote-des-femmes-le-vote-des-hommes.html )
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