Johnny et la postérité
Tremblez, mortels ! Vous allez tous mourir !
C'est parce que j'entretiens ce genre de réflexion qu'on m'invite moins dans les fêtes ! (Blague empruntée à Woody Allen.)
En, effet, tout, tout, tout va inexorablement disparaître dans le néant ! La Joconde, Madame votre mère, votre chat, Platon, Elvis et Johnny Hallyday !
Évidemment, tout est relatif, même le temps. Il y a le temps cosmique. La Terre sera un jour broyée par les rayons cosmiques. Le Soleil, lui-même, se transformera en naine jaune ou en géante rouge.
Notre univers se crashera peut-être. Nous n'en sommes pas certains. Il faudrait que j'en discute avec mes amis astrophysiciens qui n'en sont pas sûrs eux-mêmes. D'ailleurs, y a -t-il plusieurs univers? Vos hypothèses valent celles de Stephen Hawkins, le grand savant paraplégique.
Mais restons dans une relativité temporelle à notre mesure.
Oui, nous écoutons encore Elvis et les Beatles. C'est un bon point ! Des fans vont visiter Jim Morrisson (ce qu'il en reste) au cimetière du Père-Lachaise. Quelques mini-phénomènes de la mémoire populaire subsistent. Ah ! la grande Édith Piaf chante encore dans nos églises, souvent.
Tout ça pour dire que pour demeurer dans les consciences et restez un mythe, il faut vraiment avoir marqué son époque. Il faut laisser une trace.
C'est pourquoi j'estime que notre ami Johnny Hallyday, de son vrai nom, Jean-Philippe Smet (j'ai dû vérifier, j'écrivais Jean-Michel... vous voyez le côté éphémère de la mémoire... de la mienne en particulier! Donc, notre idole des jeunes, a commis une erreur en se faisant enterrer si loin de ses fans, sur une île improbable.
Il aurait dû rester à proximité pour que ses admirateurs puissent aller fleurir sa tombe. Peut-être que cela lui coûtera la postérité? Peut-être que cela l'empêchera d'être un mythe?
Bon, je n'en sais rien. Je spécule. J'amène ces quelques réflexions éphémères au petit matin dans ma petite vie, elle-même éphémère, micro-instant à l'échelle cosmique. Que cela ne vous empêche pas d'aimer la vie, chers amis mortels !
(Photo : cimetière de Longueuil, Québec.)
C'est parce que j'entretiens ce genre de réflexion qu'on m'invite moins dans les fêtes ! (Blague empruntée à Woody Allen.)
En, effet, tout, tout, tout va inexorablement disparaître dans le néant ! La Joconde, Madame votre mère, votre chat, Platon, Elvis et Johnny Hallyday !
Évidemment, tout est relatif, même le temps. Il y a le temps cosmique. La Terre sera un jour broyée par les rayons cosmiques. Le Soleil, lui-même, se transformera en naine jaune ou en géante rouge.
Notre univers se crashera peut-être. Nous n'en sommes pas certains. Il faudrait que j'en discute avec mes amis astrophysiciens qui n'en sont pas sûrs eux-mêmes. D'ailleurs, y a -t-il plusieurs univers? Vos hypothèses valent celles de Stephen Hawkins, le grand savant paraplégique.
Mais restons dans une relativité temporelle à notre mesure.
Oui, nous écoutons encore Elvis et les Beatles. C'est un bon point ! Des fans vont visiter Jim Morrisson (ce qu'il en reste) au cimetière du Père-Lachaise. Quelques mini-phénomènes de la mémoire populaire subsistent. Ah ! la grande Édith Piaf chante encore dans nos églises, souvent.
Tout ça pour dire que pour demeurer dans les consciences et restez un mythe, il faut vraiment avoir marqué son époque. Il faut laisser une trace.
C'est pourquoi j'estime que notre ami Johnny Hallyday, de son vrai nom, Jean-Philippe Smet (j'ai dû vérifier, j'écrivais Jean-Michel... vous voyez le côté éphémère de la mémoire... de la mienne en particulier! Donc, notre idole des jeunes, a commis une erreur en se faisant enterrer si loin de ses fans, sur une île improbable.
Il aurait dû rester à proximité pour que ses admirateurs puissent aller fleurir sa tombe. Peut-être que cela lui coûtera la postérité? Peut-être que cela l'empêchera d'être un mythe?
Bon, je n'en sais rien. Je spécule. J'amène ces quelques réflexions éphémères au petit matin dans ma petite vie, elle-même éphémère, micro-instant à l'échelle cosmique. Que cela ne vous empêche pas d'aimer la vie, chers amis mortels !
(Photo : cimetière de Longueuil, Québec.)
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