Je suis un Québécois, un "Blanc" privilégié, et je vous emmerde !
Mes grands-parents, maternels et paternels, ont donné au Québec une vingtaine d'enfants, qui ont eux-mêmes peuplé et contribué à l'avancement du Québec.
À l'époque de mes grands-parents, il n'y avait pas vraiment de filet social. Ils ont vécu dans des taudis. Ainsi, mes grands-parents maternels ont habité les fameux Cove Fields de Québec ( http://www.unehistoirepopulaire.net/2011/10/11-les-cove-fields.html ) ; ils ont connu, ni plus ni moins, que des conditions de réfugiés dans leur propre pays.
Malgré tout, ils ont fait leur chemin et leurs enfants et leurs petits-enfants itou! Deux générations plus tard, ces derniers ont eu accès à l'éducation supérieure : doctorats, maîtrises ; et les professions qui en découlent : avocat, prof, etc.
Bref, les Québécois, que personne n'a vraiment aidés ni soutenus, ont pleinement mérité ce qu'ils récoltent et que nos incompétents de gouvernements de vendus distribuent au premier venu, qui descend de l'avion ou entre illégalement par une frontière passoire, dans une volonté destructrice de nous assimiler.
Quand on ne se respecte pas, les autres, forcément, en profitent et ne se gênent pour vous cracher à la figure, insultant vos ancêtres.
Ainsi, on entend de plus en plus le point de vue de l'immigrant qui s'identifie aux Autochtones. Une connaissance très approximative de notre Histoire font de ceux-ci les damnés de la terre, comme si les Québécois avaient été de riches seigneurs que les Dieux auraient miraculeusement comblé par le don d'une corne d'abondance, transformée idéologiquement en "privilèges de Blancs" ("White privilege", un emprunt made in USA, là où règne le paradis des communautés- ironie).
Qu'en voilà une très mauvaise idée ! de ramener le concept de race sur la place publique. Non, nous n'y pensions pas vraiment assis sur les bancs de notre petite école de Blancs, et, franchement, plutôt sereins, malgré la non-diversité. Mais maintenant le ver est dans la pomme. Cela n'augure rien de bon pour la société québécoise, du moins ce qu'il en reste quand on sort de Montréal et de ses banlieues.
À l'époque de mes grands-parents, il n'y avait pas vraiment de filet social. Ils ont vécu dans des taudis. Ainsi, mes grands-parents maternels ont habité les fameux Cove Fields de Québec ( http://www.unehistoirepopulaire.net/2011/10/11-les-cove-fields.html ) ; ils ont connu, ni plus ni moins, que des conditions de réfugiés dans leur propre pays.
Malgré tout, ils ont fait leur chemin et leurs enfants et leurs petits-enfants itou! Deux générations plus tard, ces derniers ont eu accès à l'éducation supérieure : doctorats, maîtrises ; et les professions qui en découlent : avocat, prof, etc.
Bref, les Québécois, que personne n'a vraiment aidés ni soutenus, ont pleinement mérité ce qu'ils récoltent et que nos incompétents de gouvernements de vendus distribuent au premier venu, qui descend de l'avion ou entre illégalement par une frontière passoire, dans une volonté destructrice de nous assimiler.
Quand on ne se respecte pas, les autres, forcément, en profitent et ne se gênent pour vous cracher à la figure, insultant vos ancêtres.
Ainsi, on entend de plus en plus le point de vue de l'immigrant qui s'identifie aux Autochtones. Une connaissance très approximative de notre Histoire font de ceux-ci les damnés de la terre, comme si les Québécois avaient été de riches seigneurs que les Dieux auraient miraculeusement comblé par le don d'une corne d'abondance, transformée idéologiquement en "privilèges de Blancs" ("White privilege", un emprunt made in USA, là où règne le paradis des communautés- ironie).
Qu'en voilà une très mauvaise idée ! de ramener le concept de race sur la place publique. Non, nous n'y pensions pas vraiment assis sur les bancs de notre petite école de Blancs, et, franchement, plutôt sereins, malgré la non-diversité. Mais maintenant le ver est dans la pomme. Cela n'augure rien de bon pour la société québécoise, du moins ce qu'il en reste quand on sort de Montréal et de ses banlieues.
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