Québécois, prends ton trou !
Depuis que les Québécois ont eu la bêtise de se dire Non en 1980, ils en payent le prix.
Ils sont obligés de prendre leur trou d'une façon ou d'une autre et ils sont toujours les dindons de la farce, les perdants ultimes.
Ils sont constamment humiliés, diminuées ; ils sont submergés par l'immigration de masse, un vrai remplacement de population qui est flagrant à Montréal où ils sont devenus minoritaires ; en plus, ils sont toujours aussi pauvres! Payant, le Canada!
De mémoire, énumérons quelques jalons historiques.
Pierre Elliot Trudeau leur a imposés une Constitution en 1982.
Les accords du lac Meech ont été un échec cuisant.
Les Mohawks les ont vaincus, en tuant (probablement) un policier et en vandalisant des maisons de "Blancs", constituant un territoire dans le territoire. D'ailleurs, toutes les négociations avec les prétendues "nations" autochtones sont autant de concessions qui favorisent ceux-ci au détriment de la majorité ramenée au rôle de citoyens de deuxième classe. Le territoire du Nunavit, par exemple, est pratiquement de juridiction fédérale.
En 1995, le référendum a été une vraie farce de la démocratie. Les fédéralistes en profitant pour octroyer en vitesse une nationalité de pacotille à des immigrants qui en ont deux, et qui ont voté pour que les Québécois n'en aient pas une.
Depuis, on leur impose 50 000 et plus immigrants par année, soit un million d' étrangers en vingt ans. Un peu comme le million de migrants venant de pays arriérés que la folle à Merkel a imposé aux Allemands, mais qui sont, eux, 80 millions. (Vont-ils d'ailleurs pouvoir absorber leur immigration, malgré leur nombre? Certains en doutent.)
Gérard Bouchard (payé 400 000 dollars) et Charles Taylor (150 000$) sont venus leur donner des leçons de morale sur le sort réservé aux communauté religieuses dont il faudrait accepter toutes les bigoteries après en avoir fini avec celles du catholicisme.
L'ethnie franco-québécoise, j'emploie cette expression parce que la Constitution canadienne nous a transformés en "communauté" ethnique comme une autre, si elle ne prend pas son destin en main, sera marginalisée. Elle l'est déjà. Il y a Montréal et le Reste-du-Québec.
Le dernier trou que les Québécois prendront sera le trou de la fosse historique des peuples disparus dans l'indifférence générale.
Ils sont obligés de prendre leur trou d'une façon ou d'une autre et ils sont toujours les dindons de la farce, les perdants ultimes.
Ils sont constamment humiliés, diminuées ; ils sont submergés par l'immigration de masse, un vrai remplacement de population qui est flagrant à Montréal où ils sont devenus minoritaires ; en plus, ils sont toujours aussi pauvres! Payant, le Canada!
De mémoire, énumérons quelques jalons historiques.
Pierre Elliot Trudeau leur a imposés une Constitution en 1982.
Les accords du lac Meech ont été un échec cuisant.
Les Mohawks les ont vaincus, en tuant (probablement) un policier et en vandalisant des maisons de "Blancs", constituant un territoire dans le territoire. D'ailleurs, toutes les négociations avec les prétendues "nations" autochtones sont autant de concessions qui favorisent ceux-ci au détriment de la majorité ramenée au rôle de citoyens de deuxième classe. Le territoire du Nunavit, par exemple, est pratiquement de juridiction fédérale.
En 1995, le référendum a été une vraie farce de la démocratie. Les fédéralistes en profitant pour octroyer en vitesse une nationalité de pacotille à des immigrants qui en ont deux, et qui ont voté pour que les Québécois n'en aient pas une.
Depuis, on leur impose 50 000 et plus immigrants par année, soit un million d' étrangers en vingt ans. Un peu comme le million de migrants venant de pays arriérés que la folle à Merkel a imposé aux Allemands, mais qui sont, eux, 80 millions. (Vont-ils d'ailleurs pouvoir absorber leur immigration, malgré leur nombre? Certains en doutent.)
Gérard Bouchard (payé 400 000 dollars) et Charles Taylor (150 000$) sont venus leur donner des leçons de morale sur le sort réservé aux communauté religieuses dont il faudrait accepter toutes les bigoteries après en avoir fini avec celles du catholicisme.
L'ethnie franco-québécoise, j'emploie cette expression parce que la Constitution canadienne nous a transformés en "communauté" ethnique comme une autre, si elle ne prend pas son destin en main, sera marginalisée. Elle l'est déjà. Il y a Montréal et le Reste-du-Québec.
Le dernier trou que les Québécois prendront sera le trou de la fosse historique des peuples disparus dans l'indifférence générale.
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