L'avenir improbable du Québec

Après plusieurs séances de médiumnité avec le grand explorateur et marin de Saint-Malo, j'en arrive à la conclusion que le seul espoir de l'ethnie franco-québécoise est la partition du territoire québécois.

Si Montréal et ses quelques banlieues (Longueil, Laval, Brossard, etc.) ne sont pas séparées du Québec, le cancer de l'immigration va se répandre sur tout le territoire québécois. Après Montréal, une ville où les francophones sont minoritaires, nos gouvernements de traîtres vont favoriser l'immigration dans les autres villes du Québec.

On le voit un déjà un peu dans la ville de Québec qu'on disait trop blanche, être Blanc étant devenu la pire des calamités... Maintenant, on croise souvent des femmes voilées...

Allez, on vous laisse Montréal et, en plus, tous les membres du PLQ et de QS ; Guy A. Lepage et la clique du Plateau ; les Anglos, les Grecs, les Juifs, les Musulmans et Montréal-Nord Républik, les antifas, les quêteurs, les drogués et les punks qui nettoient les pare-brises : chanceux, va !

Pour le développement économique du Québec (ce qu'il en resterait), il serait bon aussi de créer un territoire pour les Autochtones parce que la moindre exploitation du territoire est un problème quand il faut négocier avec eux. Les Autochtones pourraient ainsi assurer le développement complet de leurs """"nations"""" sans la condescendance de ce qu'ils nomment les Européens. Libres à eux de s'associer avec le reste du Canada pour continuer à recevoir ce qu'ils considèrent être leur dû pour avoir été spoliés (les subventions).

L'ethnie franco-québécoise pourrait également envisager d'acheter une île déserte, vraiment déserte! dans le Pacifique ou l'Atlantique. Ou acheter l'île d'Anticosti.

Rendu à ce point-ci de notre Histoire, ce projet qui semble chimérique est peut-être plus réaliste que la souveraineté!

Mais n'oublions pas qu'Israël paraissait un rêve bien utopique au dix-neuvième siècle...



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